Archives mensuelles : février 2012

Puerto Vallarta, Jalisco, Mexique (spécial ACCCS )

46ème semaine (du 20 au 26 février 2012)

Bonjour à tous les copains de l’ACCCS de Genève. Nous sommes très heureux de vous adresser ces quelques mots pour dire que l’on ne vous a pas oublié, bien au contraire. Souvent, il nous vient à l’esprit combien il est confortable de participer aux sorties de l’ACCCS qui sont toujours si bien organisées. Il n’y a qu’à se déplacer, suivre les guides et se mettre à table en bonne compagnie.

Ici, c’est bien différent mais c’est un autre rêve. Depuis 10 mois, nous découvrons et savourons des paysages autant que des plats. Chaque semaine, nous sommes éblouis de voir que c’est encore mieux ici. On est sous le charme des nouveautés et c’est ce qui nous plaît, sans parler des multiples rencontres qui enrichissent encore plus notre voyage.

On a beaucoup entendu parler de l’insécurité au Mexique tant et si bien que l’on a failli ne pas y venir. Info ou intox !  Ici, ce n’est ni plus ni moins sûr que chez nous. On y rencontre des gens corrects, polis, serviables et souriants comme ailleurs et on espère bien ne pas croiser les autres.

Chez nous, on a une image des Etats-Unis qui fait la part belle à la violence, aux gangs, aux attentas, aux escroqueries et autres mésaventures en tout genre. Une fois sur place, c’est tout autre chose, le calme, la sérénité, la gentillesse des gens. On s’y sent en sécurité comme nulle part ailleurs.  

Il se produit le même phénomène pour les Canadiens et les Américains envers le Mexique. Il a suffi de quelques incidents certes graves survenus à quelques uns de leurs ressortissants pour que ces événements deviennent monnaie courante à force d’être publiés par les médias et repris par les sites internet traitant de ces domaines. A cela s’ajoute les mises en garde des sites officiels des Etats et le tour est  joué. Chacun se doit de mettre l’autre en garde sur ce qu’il a lu, entendu ou cru comprendre.

Les Canadiens retraités, parmi eux les Québécois, aiment passer les mois d’hiver au soleil avec leur RV ou leur « fifth wheels ». Ce sont les « snowbirds ». Pour se rendre au Mexique, ils peuvent s’inscrire et faire partie de convoi, contre paiement, appelé « caravane ». Ainsi, ils arrivent à bon port sans souci après un parcours plus ou moins long d’une à deux semaines selon qu’ils choisissent de faire tout le trajet Québec-Mexique ou seulement le passage de la frontière Arizona-Mexique. Généralement, la caravane pose son monde à Puerto Vallarta. Pour le retour, c’est identique, il suffit de choisir la date de la « caravane » qui convient.

Maintenant que nous sommes sur place, on réalise que tout n’est pas si noir. On rencontre bon nombre de Canadiens et d’Américains qui fréquentent encore le Mexique librement. Ils y viennent seuls et sans appréhension particulière. En général, ils connaissent bien le pays et cela fait plusieurs années qu’ils y passent les mois d’hiver. Ils savent où ils vont et sont bien documentés.

Ce dimanche, sur notre camping à Péruta dans l’état de Jalisco au Mexique, nous avons une voisine, Adèle, enseignante retraitée canadienne du Saskatchewan aux origines lointaines savoyardes. Cela fait 3 ans qu’elle vient dans la région, seule, au volent de son camping-car de 22 pieds (environ 7 m) en compagnie de ces 4 chats tout de même. Elle a séjourné 3 mois à La Manzanilla (dans les environs) et dans une semaine achèvera son séjour d’un mois ici. Ensuite, elle entreprendra son voyage de retour avec des escales plus ou moins longues à proximité d’endroits où elle a des connaissances de précédents voyages. Ainsi, année après année, s’élargit son horizon. Quelle voyageuse, elle a déjà passé dans 60 pays (sans camping-car). Bravo !

Cette semaine, nous avons quitté Mazatlan pour continuer en direction du sud en suivant la côte. Les grandes prairies de maïs ont fait place peu à peu à des collines couvertes d’une végétation très dense et tropicale. On a traversé des zones de culture d’ananas, de pastèques, de bananiers. Arrêt près de Santa Cruz puis à Sayulita, un charmant village encore épargné par les grands immeubles de vacanciers. Notre campement sur le bord de la plage était en forêt vierge avec lianes et nombreux oiseaux. Ici, c’était encore carnaval avec attractions, musique et défilé. A Puerto Vallarta, on s’est installé au Tacho’s Trailer Park, fréquenté à 85% par les Québécois. Il s’agit d’un camping situé dans un beau jardin, très bien entretenu, avec piscine et sécurité, très plaisant. On a fait un tour en ville pour y découvrir le Malécon (bord de mer) et son alignée de boutiques, bars, hôtels. On a admiré les œuvres d’art tout comme les créations de sable sur la plage et apprécié les terrasses orientées soleil couchant. Enfin, samedi, on a posé notre camper à Pérula, un endroit encore préservé où la plage est simplement la plage avec quelques barques de pêcheurs, quelques paillottes, quelques bars et des voiliers en mouillage pour la nuit.

Il serait faux de prétendre que tout est simple et coule de source. Forcément que l’on a rencontré quelques difficultés, ennuis ou surprises mais jusqu’à maintenant rien de grave, on a pu y faire face et/ou les surmonter et en regard du plaisir que l’on a à visiter toutes ces régions, ces aléas sont vite oubliés. Pourvu que cela continue ainsi c’est notre seul souhait.

On vous salue tous bien et au plaisir de vous revoir. Un coucou particulier à Marc, Québécois,  qui nous laisse régulièrement des messages sur le blog et à qui on rendra volontiers visite lors de notre retour par le Québec.

HASTA LUEGO AMIGOS

2012.02.20 au 26 – Puerto Vallarta, Jalisco, Mexique – réduits

Topolobompo – Chihuahua – Mazatlan

45ème semaine (du 13 au 19 février 2012)

Lundi, on traverse la mer de Cortès à bord d’un ferry de la compagnie Baja Ferries partant de La Paz à Topolobampo. Embarquement dès midi, départ à 15 h., arrivée 6 h. plus tard. Traversée très tranquille. Sur le pont supérieur, on scrute l’horizon dans l’espoir d’apercevoir encore une fois les baleines mais seuls quelques dauphins apparaissent au loin. Lorsque l’on se présente au restaurant pour notre repas (compris dans le prix du billet), on apprend que le service est terminé. Trop tard. Après le coucher du soleil, on s’installe au salon jusqu’à l’arrivée. La nuit est là lorsqu’on débarque et, comme indiqué sur un site, on sollicite auprès d’un des gardiens du port la possibilité de rester dormir là, ce qu’il accepte jusqu’à 6h1/2 du matin. Il viendra d’ailleurs nous réveiller. Mardi, on se déplace au village pour déjeuner. Sur le quai, on trouve stationné un cc américain du Colorado. Les occupants dorment là sans aucun problème. On croit rêver avec tout ce que l’on a entendu sur le Mexique et son insécurité. Nous voilà quelque peu rassurés. On se dirige sur El Fuerte en passant par Los Mochis. La route traverse des zones habitées mais pas vraiment des villages. Sans que l’on n’ait eu le temps de s’en rendre compte, la vitesse dans ces zones est limitée à 40 km/h, deux policiers nous font signent de nous arrêter. Mince, voilà que l’on roulait à 51. Quelques palabres nous ont permis de nous en tirer à moins de 100 pesos alors que le policier nous annonçait une bûche de 680 pesos (environ CHF 55.–).  C’est sûr qu’après cela, nous nous sommes veillés à respecter les limitations mais qu’est-ce que l’on s’est fait dépasser…  et qu’est-ce que c’était difficile de repérer les panneaux indicateurs de vitesse. L’arrivée à El Fuerte nous a réconfortés. On a découvert une charmante bourgade au cœur joliment restauré avec de beaux hôtels à cour intérieure surprenante, une maison municipale pleine de vie et même une statue du légendaire ZORRO. Il se dit qu’il est né dans ce village et qu’il y a vécu ses 10 premières années. En fin d’après-midi, on se déplace jusqu’à la gare à quelques km. Stationnement pour la nuit dans la cour arrière d’une petite propriété juste en face de la gare. Contre quelques pesos, ils garderont notre véhicule en notre absence. Nuit très rurale au milieu de beaucoup de coqs chanteurs. Mercredi, à 08.30 h., on monte à bord du train touristique du Chihuahua. Suivant les conseils de notre guide de voyage, on va se contenter d’aller jusqu’à Creel ce qui nécessite déjà près de 8 h. de trajet. Le tracé de cette ligne est effectivement fabuleux. Quittant la plaine, il serpente au fond d’une gorge puis se hisse sur les hauts plateaux pour traverser la Sierra Madre Occidentale. A Divisadero, le train longe la rive des impressionnants canyons de « barrancas de cobre » et s’arrête ¼ h. pour permettre aux voyageurs de descendre et d’aller jusqu’au point de vue, découvrir ce magnifique panorama qui ressemble au Grand Canyon des USA. C’est fascinant. Arrivés à Creel, on s’est installé dans une petite auberge. Bien vite, on a été rattrapé par la fraîcheur du soir nous rappelant qu’à 2’300 m d’altitude, les nuits d’hiver peuvent être très fraîches. En plus, dans ces régions, les maisons ne sont pas isolées et n’ont souvent pas de chauffage. On a pris notre repas du soir en veste dans notre salle d’hôtel et pour la nuit, on a emprunté la couverture du 2ème lit de la chambre. Le lendemain, temps couvert et vent froid. On s’est inscrit pour un petit circuit en bus afin de découvrir quelques points d’intérêts de la région, notamment les curiosités géologiques (pierres en forme de champignons, grenouilles, éléphant), une grotte servant d’habitation aux indiens Tarahumaras, une ancienne église et un lac. Cette balade aurait été plus agréable avec un peu plus de chaleur. Finalement, on était bien content de revenir sur la gare pour reprendre notre train en sens inverse jusqu’à El Fuerte. Vendredi, en route pour les bords de l’eau. On s’installe à Las Glorias, un RV Park attenant à un hôtel, devant l’océan, où l’on est presque les seuls clients (vent toujours assez frais). Samedi, encore quelques centaines de km, et nous voilà arrivés à Mazatlan. Installation au Mar Rosa RV Park. On prend une place au premier front de mer, la vue est trop belle. Dimanche, on profite d’une belle journée sur la plage et on se déplace en ville, le soir, pour la parade de carnaval. Beaucoup de monde pour ce défilé magnifique, haut en couleur, en lumière et en musique de style samba et techno. A l’issue de celui-ci, on a regagné nos pénates assez rapidement.  VIVA MEXICO.

A ceux qui bravent les températures minus, on adresse nos chaleureux messages.

2012.02.13 au 19 – Topolobampo – Chihuahua – Mazatlan – réduits

Baja California 4, Mexique

44ème semaine (du 6 au 12 février 2012)

Cette semaine, dernier tronçon : Cabo San Lucas – La Paz. Nous voilà sur une piste de sable qui longe la côte (mer de Cortès) sur une 40aine de km. Impossible de dépasser les 15 km/h sur cette tôle ondulée, tout notre intérieur grince et couine. Après une heure de route, arrêt pour dîner à El Cardoncito, une plage, quelques paillottes, une maison vide de l’autre côté de la route, on y est tout seul. Tandis qu’on s’attarde un moment au soleil, un autre cc arrive (Américains du South Dakota). On s’accorde pour rester là tous les deux pour la nuit. On profite du joli coucher et lever de soleil ainsi que d’un beau clair de lune. Notre 2ème nuit, Los Frailes. Avant d’y arriver, on a bien failli rester ensablé en nous approchant d’une autre plage déserte. Il nous a fallu près d’une heure pour nous retourner, le chemin menant à la plage arrivait directement sur le sable mou. Cette fois, on ne cherche pas la petite bête, pas question d’aller trop près du bord, d’ailleurs un Québécois nous interpelle en annonçant que plus loin c’est mou. Super, des francophones, on les aura pour l’apéro tout à l’heure. Petit tour d’horizon, la plage est très belle ici, à l’abri du vent, mais plein de petites méduses échouées sur le sable. Cela nous dissuade de mettre les pieds dans l’eau. Au cours de notre promenade, on repère une otarie qui semble nous épier et nous suit un bon moment. Sympa. En dehors des quelques Américains et Canadiens dans leur caravane ou cellule montée sur 4×4 , plusieurs pêcheurs vivent également ici dans des habitations très rudimentaires. Ce fut un réel plaisir de faire la connaissance de Serge et Suzanne. Ils vivent à 8 h. de route de Montréal, direction la Baie James, perdus entre forêts et lacs. Serge connaît bien la Baja, il y vient depuis plus de 10 ans et c’est la 1ère fois qu’il y amène sa récente amie. Oh, la lune apparaît ! Elle sort sur le côté de la montagne et se reflète dans l’eau. Elle est épatante de clarté ! Il est temps de se dire bonne nuit. Trois gouttes de pluie, comment est-ce possible ? Cela a hâté notre réveil et gâché le lever du soleil. En route pour Cabo Pulmo, aquarium naturel. Des stands offrent excursions et location de matériel de plongée mais par ce temps pluvieux très inhabituel, les clients sont rares. Sur le parking, un véhicule aménagé du Québec. On échange quelques mots avec les occupants, un jeune couple de Val-David en voyage avec leur bébé de 8 mois. Arrêt suivant à Los Barriles. Ça y est, on a retrouvé une route asphaltée. Ce n’est pas pour autant que l’on est préservé des surprises. On rencontre parfois des vaches, ânes ou chevaux sur les bords de route, en liberté. On se demande de quoi ils vivent et où trouvent-ils à boire, tout est sec. En tous cas, ce n’est pas la graisse qui les gêne. A Los Barriles, on jette un coup d’œil à la plage, super, on pourra y stationner, il y a plusieurs cc dont un cc hollandais. Comme on a du temps, on retourne au centre du village pour une connexion internet. Mais, on connaît cette personne qui passe dans le rue, c’est Myriam avec son bébé Leni. Elle nous apprend qu’ils sont installés au RV Park, juste à côté. On les rejoindra pour la soirée et la nuit. Super de les retrouver tous en forme. Jeudi, on poursuit notre remontée sur La Paz et on fait escale à La Ventana. Beaucoup de vent = plein de sportifs sur l’eau avec planche et aile de parapente. Ils font du kiteboarding. Divertissant de les regarder aller et venir et quelle chance de pouvoir le faire de notre terrasse où l’on a trouvé une place in extremis sur ce parking d’hôtel aménagé en RV Park. Vendredi, on atteint La Paz. On aimerait faire changer nos plaquettes de freins au véhicule. Super, on a trouvé un garage et ils s’y affairent séance tenante. Voilà, c’est fait. On se dirige sur la plage de Tecolote à une 15aine de km de La Paz. Installation sur le sable avec d’autres cc. On reste là pour le week-end. On a le beau temps mais passablement de vent. Cyrille doit aménager des protections. Dimanche, belle surprise, c’est le bus VW de Konstantin, Anuschka, et leur bébé Kilian qui passe devant nous. Pour nous comme pour eux, cela fait un mois que nous sommes en Baja California puisque nous avons fait nos formalités d’entrée ensemble. On les embrasse bien fort et vous aussi. A bientôt…

2012.02.06 au 12 – Baja California – Mexique – réduits

Baja California 3, Mexique

43ème semaine (du 30 janvier au 5 février 2012)

Lundi, on quitte La Paz et on part direction Cabo San Lucas. Arrêt à la station de gaz où on fait le plein de nos deux bonbonnes de propane. La route est belle et traverse la péninsule. On atteint Todos Santos, sur l’océan Pacifique. Malgré nos allées et venues dans le village, pas moyen de trouver la route menant au bord de l’océan. Le RV Park du lieu ne nous convient pas, aucune vue. On continue. Au village suivant, El Pescadero, cela paraît toujours aussi difficile d’aller sur les bords de l’océan. Des chemins de sable partent bien dans cette direction mais comment savoir si on peut y passer avec notre véhicule et où cela mène-t-il exactement ? Y a-t-il une plage publique  au bout ou des propriétés privées ? On se décide à tenter le coup surtout parce que la distance ne semble pas trop longue. De trous en bosses, on atteint le bout. Ce chemin mène bien à des résidences privées mais aussi à la plage. En revanche, pas de parking. Deux véhicules sont stationnés sur le sable et leurs occupants nous rassurent. Oui, on peut s’y installer pour la nuit. Un peu plus loin, un véhicule 4×4 avec cellule est posé ainsi qu’une tente. Cela nous convient. Pour éviter de nous ensabler, Cyrille pose des plaques sous les roues avant du véhicule. On profite du soleil. Eh, voilà de la visite, c’est Danielle qui nous aborde en français. Elle a passé des années à Genève, y est allée à l’école, y a de la famille. Très gaie et très avenante, elle nous explique être stationnée juste à côté, avec d’autres campeurs, endroit que l’on atteint par un autre chemin. Bientôt rejointe par son mari, elle nous présente Adrien. Tous deux sont Français et demeurent depuis 40 ans au Canada, dans les environs de Vancouver. On aura le bonheur de faire plus ample connaissance au cours d’un premier apéritif chez eux, d’un deuxième chez nous puis carrément en nous installant près d’eux pour les deux jours suivants et en partageant nos repas du soir. Danielle et Adrien connaissent bien le Mexique. Danielle a une mémoire de tous les endroits où ils ont stationnés, villes et lieux visités. Elle est incollable, volubile, difficile de la suivre sans en perdre la moitié. Je dois prendre des notes pour essayer de m’y retrouver.

En plus de cette rencontre magnifique, on garde un merveilleux souvenir de cette plage où dès les premières heures du jour, les surfers arrivent et accaparent le bord de l’océan jouant et disparaissant dans les vagues. Par ailleurs, c’est un endroit superbe pour observer les baleines. Toute la journée de mardi, on est resté scotché à nos lunettes d’approche devant un défilé continuel apercevant même quelques sauts. Superbe.

Si pour nous le souvenir de cette plage est fabuleux, il est un couple d’Australo-Canadien qui en gardera un tout autre souvenir. Durant 4 jours, tous deux se sont attelés à dégager les roues de leur RV enlisé dans le sable et à placer des galets formant un chemin dans l’axe des roues afin de pouvoir le sortir de cette mauvaise passe. Jeudi, tiré par 2 puissants 4×4 américains, le RV a pu être dégagé. Ouf, le sourire est apparu plus décontracté sur leur visage.

Vendredi, on n’a plus d’eau, c’est le moment de poursuivre notre route. Comme le temps est couvert ce matin, on a un peu moins de peine à quitter cet endroit de rêve. Suivant les conseils de Danielle, à Cabo San Lucas, on s’installe au RV Park « Vagabundos ». Cela nous permet de faire quelques lessives. Le soir, tour en ville. Beaucoup de néons, bars ouverts sur la rue avec puissante sono, boîtes de nuit, guinguettes, boutiques souvenirs, restaurants variés. Impossible de passer devant les commerces sans se faire héler. La clientèle n’est pas si nombreuse en ce moment, il y a de la place partout. Après le repas, une dernière promenade autour de la marina bordée de restaurants chics et de centres commerciaux de luxe et retour chez nous en taxi.

2012.01.30 au 5 – Baja California 3 – réduits